· Hausse des taux d’intérêt
· Difficulté d’accès au crédit
· Inflation
· Crises internationales
· Obligation de rénovation énergétique
· Tensions sociales
· Augmentation généralisée de la taxe foncière, des charges et des coûts travaux
-> Allongement des délais de commercialisation : on passe de 3-4 semaines à 2 mois pour les biens mal "pricés" (en fonction des qualités intrinsèques)
-> Hésitation et retour à la vente des biens souvent à des prix de commercialisation inférieurs (20% des offres acceptées ne se convertissent pas en promesse alors que nous faisons un travail de "due diligence" conséquent en amont, côté acquéreur). Autrement dit, hésitations, peur et attentisme.
-> Baisse générale des prix de l’ordre de 10%, accentuée par l’inflation.
On se retrouve dans une situation ou l’estimation est l’élément essentiel du bon déroulé de la commercialisation.
· Transactions contraintes (déménagement, divorce, décès, dettes)
· Achats « cash » (sans crédit) – Beaucoup de liquidités encore disponibles (//collectes livret A & Assurance Vie)
· Appartements biens "pricés"
· L’immobilier reste une valeur refuge et occupe une place de choix dans le patrimoine des français. Il représente 68% de leur patrimoine net. Paris est choisie pour sécuriser et diversifier son patrimoine.
· Paris : image de marque qui demeure insensible aux crises
· Paris continue à plaire grâce à son patrimoine et sa culture. La demande ne faiblit pas
· Des secteurs qui se portent très bien (luxe, énergie, logistique)
· Raréfaction continue des biens sans défaut : représentent moins de 5% du marché et des délais de commercialisation très courts.
· Paris est à la 1e place des métropoles les plus recherchées par les UHNWI (« Ultra High Net Worth Individuals »).
Ces personnes possèdent un patrimoine dépassant les 27 millions d’€ d’actifs neufs. Un bien immobilier parisien avec une vue monument connu est devenu la quête ultime de ces acquéreurs
· Les critères fondamentaux sont devenus essentiels, comme un prérequis dans le luxe : localisation, immeuble, étage extérieur, vue dégagée, hauteur sous plafond
· L’immobilier de luxe continue son ascension et atteint de nouveaux sommets
· Prix au m2 de plus de 30 000€ fréquemment franchi
· Le parc immobilier parisien n’augmente pas. Il est figé.
· Les vendeurs ne cèdent pas et minimisent la baisse des prix
· Les acheteurs anticipent trop fortement la baisse des prix
-> On observe un décalage de 5 à 10%
-> Rôle de conseil et de pédagogie primordial de l’intermédiaire pour réconcilier l’offre et la demande
Rénovation énergétique
· Au cœur des enjeux en particulier pour les biens destinés à la location
· La commercialisation des biens F et G est difficile
Conclusion :
Un marché à courants opposés mais qui de manière générale est orienté à la baisse. Le marché n’est pas figé et le rôle et la qualité de l’intermédiaire deviennent primordiaux.